Eric Zemmour était présent ce 8 Janvier aux Sables-d’Olonne, en Vendée, à l’invitation de Philippe De Villiers. Le candidat a livré un discours édifiant, où il a défendu les valeurs chrétiennes de la France et a dénoncé la «cancel culture».
Retrouvez le discours complet ci-dessous :
Claude AZ
Le discours d’Éric Zemmour aux Sables d’Olonne m’a ému !
Rares sont les candidats à l’élection présidentielle capables de rassembler autour d’eux des personnalités, tel M. Philippe De Villiers, qui inlassablement, contre vents et marées, s’opposent à la doxa mondialiste et à la destruction des Nations souveraines.
La sincérité de Z transparaît dans son regard.
Ses propos – compréhensibles par le commun des mortels – sonnent juste et, contrairement à certains candidats déclarés ou putatifs, il finit toujours ses discours par VIVE LA FRANCE.
Soyons clairs, Éric Zemmour ne brigue pas le poste de chef d’une quelconque Province obéissant aux ordres d’un machin fédéral si cher à ses opposants politiques.
L’enjeu des prochaines élections qui se dérouleront les 10 et 24 avril est capital.
Élu président, Éric Zemmour défendra âprement les intérêts de la France.
BENSIMON Philippe
Concernant la scolarité, son effondrement demeure une réalité qui n’a rien d’une spécificité française, mais d’une hécatombe en Occident. Un constat qu’il m’est permis de donner après 20 ans d’enseignement universitaire tant du côté anglophone que francophone. Ne prenons ici que quelques exemples.
Au Canada, en 2012, selon les sources de l’OCDE, parmi les plus de 16 ans, 12 millions (48 %) n’atteignaient pas le niveau 3 de littératie (difficultés à assumer de nouvelles compétences exigées pour toute société dite moderne). Au Québec, une personne sur cinq avait de grandes ou de très grandes difficultés à lire et à écrire, soit un niveau inférieur à 1 de littératie. Année 2015, parmi les Québécois détenant un diplôme universitaire, 27 % d’entre eux éprouvaient des difficultés en lecture et pouvaient même être considérés comme analphabètes fonctionnels. Apprendre le strict minimum pour être en mesure de passer un examen et non pour apprendre est devenu la norme (exigences de quotas gonflés à l’hélium).
L’herbe est-elle plus verte chez le voisin ?
En 2019, en France, 7 % de la population adulte âgée de 18 à 65 ans ayant été scolarisée sur le sol national était en situation d’illettrisme, soit 2 500 000 personnes. La moitié avait plus de 45 ans. Concernant la jeunesse, un second rapport publié cette fois-ci par le ministère de l’Éducation indiquait qu’un sur 20 est illettré et qu’un sur 10 présente des difficultés en lecture pour la tranche d’âge des 16 à 25 ans.
En Grande-Bretagne, toujours pour la même année (2019), le National Literay Trust, enregistrait 16,4 % d’adultes, soit 7,1 millions de personnes possédant « de très faibles capacités d’alphabétisation. » (Can be described as having ‘very poor literacy skills’). Encore plus grave et proportionnellement à sa population, l’Écosse enregistrait 1 personne sur 4, soit un total de 26,7 % (931 000 personnes) !
Aux États-Unis, première puissance mondiale possédant les plus prestigieuses universités, le National Center for Education Statistics recensait 43 millions d’adultes analphabètes, dont 66 % nés aux États-Unis.
À cette désolation étasunienne, le piètre contenu des cours suivant inexorablement cette mode de déconstruction exportée dans le reste du monde, celui du nivellement par le bas ou la médiocrité dans ce qu’elle a de plus vil.
Seul Zemmour peut redonner l’éclat d’antan, mais à condition que tous s’y mettent en laissant de côté leur partisannerie gogoche d’une époque révolue.